Voici le récit d’Anthony , adhérent de l’ACAIV : « Dimanche matin, je pars à 9 heures. Au bout de 10 minutes, je tire une flèche sur un premier lièvre qui est en plein travers. Loupé ! Je suis vingt centimètres derrière ! Dans la matinée, j’en verrai sept en tout ! Vers 11h30, je me dirige sur un terrain labouré et soudain, je vois un lièvre gité à quinze mètres. Avec mon ‘’poulie’’, ce n’est pas évident. Je m’approche, je suis à dix mètres. Pris de remords - au gite, ça n’a aucune beauté en soi - je décide de le faire partir. J’avance d’un mètre. Il s’enfuit, je tire. Je le touche, j’entends le ‘’poc’’ et il tombe sur le côté ! J’ai fait une belle flèche en plein poumon. J’en tremblais ! Ce n’est pas la même émotion qu’avec le fusil. Il n’est pas trop gros, il fait 2,615 kg mais j’étais super content. Dimanche prochain, avec un second bracelet, je vais essayer d’en prélever un autre, toujours à l’arc ! »